OGM

« Quelques publications parmi les plus importantes réalisées par des équipes scientifiques soutenues par le CRIIGEN ou par des membres du CRIIGEN y ayant participé ».

Classiquement, lors de la citation d’une étude scientifique il n’est précisé que le nom du premier auteur. Exceptionnellement, tous les auteurs sont cités afin de les remercier des efforts fournis, de leur coopération et soutien au CRIIGEN. 

(Les auteurs membres du CRIIGEN sont soulignés)

2014

Republished study: Long-term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize. Séralini, G.E., Clair, E., Mesnage, R., Gress, S., Defarge, N., Malatesta, M. Hennequin, D. Spiroux de Vendômois, J. (2014) Environ Sci Eur. 2014. doi: 10.1186/s12302-014-0014-5.

« Étude rééditée : toxicité à long terme d’un herbicide Roundup et d’un maïs génétiquement modifié tolérant au Roundup »

Un cas exceptionnel ! voir dossier spécial…

Letter to the Editor regarding « Delaney et al., 2014 »: uncontrolled GMOs and their associated pesticides make the conclusions unreliable. Robin Mesnage, Nicolas Defarge, Joël Spiroux de Vendômois, Gilles-Eric Séralini. Food Chem Toxicol 2014. Doi : 10.1016/j.fct.2014.07.003

« Lettre à l’éditeur concernant « Delaney et al., 2014 » : les OGM non contrôlés et leurs pesticides associés rendent les conclusions peu fiables ».

 

Nous sommes préoccupés par la caractérisation du régime alimentaire testé dans l'étude de Delaney et al. (2014), étudiant les effets subchroniques sur la santé du canola génétiquement modifié tolérant au Roundup (DP-Ø73496-4) sur les rats. La conclusion peut être utilisée par les autorités de régulation. La présence d'autres OGM tolérants au Roundup et de résidus d'herbicide Roundup n'a pas été testée dans le Purina Certified Rodent LabDiet 5002. Selon nos analyses PCR effectuées de manière accréditée, ce régime témoin contenait également 18 % de maïs tolérant au Roundup NK603 et 14,9 % de MON810 (un insecticide Bt modifié produisant des OGM). Nous avons également trouvé 110 ppb de glyphosate et 200 ppb d'AMPA (le principal métabolite du glyphosate). Même si leurs toxicités sont débattues (Seralini et al., 2014), la présence incontrôlée de résidus de pesticides et autres OGM rend l'étude peu concluante. Tout paramètre animal mesuré après avoir mangé du canola GM ne peut être comparé à des témoins mangeant un régime contenant d'autres OGM ayant la même caractéristique et n'est pas pris en compte. Selon les critères du rédacteur en chef de Food and Chemical Toxicology (Hayes, 2014), cette étude (Delaney et al., 2014) devrait être rétractée.

Conclusiveness of toxicity data and double standards. Séralini, G.-E., Mesnage, R., Defarge, N., Spiroux, J. (2014)  Food and Chem. Tox. 69:357-359.

« Caractère concluant des données de toxicité et double standard ».

Nous commentons les arguments de Mr Hayes, directeur de Food and Chemical Toxicology (Hayes2014) qui a pris la décision de rétracter notre étude (Seralini et al., 2012). Cette publication met en évidence un double standard et une iniquité dans les choix de rétractation de publications scientifiques.

 

2014

Conflicts of interests, confidentiality and censorship in health risk assessment: the example of an herbicide and a GMO. Gilles-Eric Séralini, Robin Mesnage, Nicolas Defarge, Joël Spiroux de Vendômois. Editorial Environ Sci Eur. 2014. doi: 10.1186/s12302-014-0013-6.

« Conflits d’intérêts, confidentialité et censure dans l’évaluation des risques sanitaires : l’exemple d’un herbicide et d’un OGM ».

 

Nous avons étudié la toxicité à long terme d'un maïs GM tolérant au Roundup (NK603) et d'une formulation entière de pesticide Roundup à des niveaux pertinents pour l'environnement à partir de 0,1 ppb. Cela a provoqué des turbulences dans le monde éditorial scientifique, mettant en évidence des conflits d’intérêt…

Notre étude a été publiée pour la première fois dans Food and Chemical Toxicology (FCT) le 19 septembre 2012. La première vague de critiques est arrivée en une semaine, principalement de la part de biologistes végétaux sans expérience en toxicologie. Nous avons répondu à toutes ces critiques. Le débat a ensuite englobé des arguments scientifiques et une vague de commentaires ad hominem et potentiellement diffamatoires sont apparus dans différentes revues par des auteurs ayant des conflits d'intérêts graves mais non révélés. Dans le même temps, FCT a recruté comme nouveau rédacteur adjoint pour la biotechnologie un ancien employé de Monsanto après avoir envoyé une lettre à FCT pour se plaindre de notre étude. C’est notamment pourquoi FCT a demandé une analyse post-hoc de nos données brutes. Le 19 novembre 2013, le rédacteur en chef a demandé le retrait de notre étude tout en reconnaissant que les données n'étaient pas incorrectes et qu'il n'y avait aucune faute, aucune fraude ou mauvaise interprétation intentionnelle dans l'ensemble de nos données brutes - une action inhabituelle, voire sans précédent dans l'édition scientifique. L'éditeur a fait valoir qu'aucune conclusion ne pouvait être tirée car nous avons étudié 10 rats par groupe pendant 2 ans, parce qu'il s'agissait de rats Sprague Dawley et parce que les données n'étaient pas concluantes sur le cancer. Cela était pourtant connu au moment de la soumission de notre étude. Notre étude n’a cependant jamais été considérée comme une étude de cancérogénicité. Nous n'avons jamais utilisé le mot « cancer » dans notre journal. Le présent avis est une synthèse du débat qui a donné lieu à cette rétractation, car il s'agit d'un exemple historique de conflits d'intérêts dans les évaluations scientifiques de produits commercialisés dans le monde entier. Nous montrons également que la décision de se rétracter ne peut être rationalisée sur aucun fondement scientifique ou éthique perceptible. La censure de la recherche sur les risques sanitaires mine la valeur et la crédibilité de la science ; ainsi, nous republions notre article.

2013

Answers to critics: Why there is a long term toxicity due to a Roundup-tolerant genetically modified maize and to a Roundup herbicide. Gilles-Eric Séralini, Emilie Clair, Robin Mesnage, Steeve Gress, Nicolas Defarge, Manuela Malatesta, Didier Hennequin, Joël Spiroux de Vendômois (2013). Food Chem. Toxicol. 53,461-468.

« Réponses aux critiques : Pourquoi il existe une toxicité à long terme due à un maïs génétiquement modifié tolérant au Roundup et à un herbicide Roundup » 

 

Nos travaux récents (Séralini et al., 2012) restent à ce jour l'étude la plus détaillée portant sur la consommation à vie d'un organisme agricole génétiquement modifié (OGM) et de son herbicide associé. Néanmoins cette étude a généré une polémique violante à notre encontre. Nous avons répondu à toutes les attaques dans cette publication…

Cela est particulièrement vrai pour le maïs NK603 pour lequel seul un test de commercialisation de 90 jours a été réalisé auparavant avec la même souche de rat (Hammond et al., 2004). Il s'agit également de la première recherche détaillée à long terme sur des mammifères exposés à un pesticide hautement dilué dans sa formulation totale avec adjuvants. Cela peut expliquer pourquoi 75 % de nos premières critiques qui surgissent en une semaine, parmi les auteurs de la publication, proviennent de biologistes végétaux, de certains développant des brevets sur les OGM, même s'il s'agissait d'un article toxicologique sur les mammifères, et de la société Monsanto qui possède à la fois le NK603 GM maïs et herbicide Roundup (R). Notre étude a des limites comme toute autre, et nous répondons ici avec soin à toutes les critiques des agences, consultants et scientifiques, qui ont été adressées à l'éditeur ou à nous-mêmes. À ce niveau, un débat complet serait biaisé si les tests de toxicité sur les mammifères du NK603 et du R obtenus par la société Monsanto restaient confidentiels et donc indisponibles sous format électronique pour que l'ensemble de la communauté scientifique puisse procéder à un examen indépendant des données brutes. Dans notre article, les conclusions sur les toxicités à long terme du NK603 et du Roundup provenaient de résultats statistiquement très discriminants au niveau biochimique dans les groupes traités par rapport aux témoins, car ces résultats correspondent bien en analyse aveugle aux pathologies observées dans les organes, c'est-à-dire ont été à leur tour liés aux décès par les anatomopathologistes. Les GM NK603 et R ne peuvent pas être considérés comme sûrs à ce jour.

2012

Long term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize. Gilles-Eric Séralini, Emilie Clair, Robin Mesnage, Steeve Gress, Nicolas Defarge, Manuela Malatesta, Didier Hennequin, Joël Spiroux de Vendômois (2012). Food Chem. Tox. 50, 4221-4231.

C’est la première étude au monde ayant testé pendant deux ans un Roundup et l’OGM tolérant le glyphosate…

Cette publication été rétractée, mais rééditée en 2014, cas rarissime… 

2010

Debate on GMOs health risks after statistical findings in regulatory tests. Joël Spiroux de Vendômois 1, Dominique Cellier, Christian Vélot, Emilie Clair, Robin Mesnage, Gilles-Eric Séralini. Int J Biol Sci. 2010. Doi : 10.7150/ijbs.6.590. Publication libre de droit.

« Débat sur les risques sanitaires des OGM après les résultats statistiques des tests réglementaires ».

 

Cette publication résume les points majeurs du débat international sur les études de risques sanitaires pour les principaux OGM comestibles commercialisés. Ces OGM sont le soja, le maïs et le colza conçus pour contenir de nouveaux résidus de pesticides…

… puisqu'ils ont été modifiés pour être tolérants aux herbicides (principalement au Roundup) ou pour produire des toxines Bt mutées. Les risques chroniques alimentaires débattus peuvent provenir d’effets imprévisibles de mutagenèse insertionnelle, d’effets métaboliques ou de nouveaux résidus de pesticides. Les tests réglementaires les plus détaillés sur les OGM sont des essais d'alimentation de trois mois sur des rats de laboratoire, qui sont évalués biochimiquement. Les tests ne sont pas obligatoires et ne sont pas menés de manière indépendante. Les données des tests et les résultats correspondants sont gardés secrets par les entreprises. Nos précédentes analyses de données brutes réglementaires à ces niveaux, prenant les exemples représentatifs de trois maïs GM NK 603, MON 810 et MON 863, nous ont amenés à conclure que des toxicités hépatorénales étaient possibles et que des tests plus longs étaient nécessaires. Notre étude a été critiquée par la société développant les OGM en question et par les organismes de réglementation, principalement sur les interprétations biologiques divergentes des effets biochimiques et physiologiques statistiquement significatifs. Nous présentons les raisons scientifiques des interprétations biologiques extrêmement différentes et soulignons également les lacunes des protocoles expérimentaux conçus par l’entreprise. Le débat implique une énorme responsabilité envers la santé publique et est essentiel en raison de l'absence de traçabilité ou d'études épidémiologiques dans les pays producteurs d'OGM.

2010

Genetically modified crop consumption at large scale: Possible negative health impacts due to holes in assessment. Overview of the safety studies of GMOs performed on mammals.   Gilles-Eric Séralini, Joël Spiroux de Vendômois, Dominique Cellier, Robin Mesnage, Emilie Clair (2010). Editors : Breckling, B. and Verhoeven,R. Theorie in der ökologie 16.

« Consommation de cultures génétiquement modifiées à grande échelle : impacts négatifs possibles sur la santé en raison de lacunes dans l’évaluation. Aperçu des études de sécurité des OGM réalisées sur des mammifères »

 

Entre 2008 et 2010, un débat a vu le jour sur la réglementation internationale, sur sa capacité à prédire et à éviter les effets néfastes sur la santé et l'environnement des nouveaux produits et des nouveaux aliments pour animaux (OGM, produits chimiques, pesticides, nanoparticules…).

L'évaluation des risques sanitaires ne peut éviter l'étude des analyses sanguines des mammifères consommant ces produits dans le cadre de tests subchroniques ou chroniques. Les essais d'alimentation des mammifères ont donc généralement été réalisés à des fins réglementaires, afin d'obtenir des autorisations ou la commercialisation d'aliments ou d'aliments pour animaux dérivés de plantes génétiquement modifiées. Ils ont peut-être été publiés ultérieurement dans la littérature scientifique. Nous avons obtenu, suite à des actions en justice ou à des demandes officielles, les données brutes de plusieurs tests de sécurité in vivo, d'une durée de 28 ou 90 jours, sur des rats pour les OGM (Séralini et al. 2007 ; Spiroux de Vendômois et al. 2009). Nous avons examiné minutieusement ces tests d’un point de vue biologique et biostatistique. Nous nous concentrons dans cette étude sur les résultats des essais alimentaires disponibles de 90 jours (ou plus) avec des OGM commercialisés, à la lumière des connaissances scientifiques modernes.

2009

How subchronic and chronic health effects can be neglected for GMOs, pesticides or chemicals. Gilles-Eric Séralini, Joël Spiroux de Vendômois, Dominique Cellier, Charles Sultan, Marcello Buiatti, Lou Gallagher, Michael Antoniou, Krishna R Dronamraju. Review Int J Biol Sci. 2009 doi: 10.7150/ijbs.5.438. Publication libre de droit.

« Comment les effets subchroniques et chroniques sur la santé peuvent être négligés pour les OGM, les pesticides ou les produits chimiques ».

 

Les effets chroniques sur la santé se multiplient dans le monde, comme les cancers, les maladies hormonales, reproductives, nerveuses ou immunitaires, même chez les jeunes…

Lors des tests toxicologiques subchroniques réglementaires visant à prévenir ceux-ci sur la santé des mammifères, lors de la commercialisation préalable de produits chimiques, notamment de pesticides et de médicaments, ou d'OGM, certains résultats statistiquement significatifs peuvent être révélés. Cette discussion porte sur la nécessité d'étudier les critères pertinents pour les considérer comme biologiquement significatifs. Les différences entre les sexes et les effets non linéaires liés à la dose ou au temps doivent être considérés en contraste avec les affirmations d'un groupe d'experts soutenu par Monsanto sur un OGM, le maïs MON 863 Bt, mais aussi  pour les pesticides ou les médicaments, notamment pour révéler des maladies hormono-dépendantes et les premiers signes de toxicités.

2009

A comparaison of the effects of three GM corn varieties on mammalian health. Joël Spiroux de Vendômois, François Roullier, Dominique Cellier, Gilles-Eric Séralini. Comparative Study Int J Biol Sci. 2009 doi : 10.7150/ijbs.5.706. Publication libre de droit.

« Une comparaison des effets de trois variétés de maïs GM sur la santé des mammifères ».

 

Nous présentons pour la première fois une analyse comparative des données sur le sang et les systèmes organiques provenant d'essais menés auprès de rats nourris avec trois principaux maïs génétiquement modifiés (GM) commercialisés (NK 603, MON 810, MON 863), présents dans l'alimentation humaine et animale dans le monde.

Le NK 603 a été modifié pour être tolérant à l'herbicide à large spectre Roundup et contient donc des résidus de cette formulation. MON 810 et MON 863 sont conçus pour synthétiser deux toxines Bt différentes utilisées comme insecticides. Environ 60 paramètres biochimiques différents ont été classés par organe et mesurés dans le sérum et l'urine après 5 et 14 semaines d'alimentation. Les rats nourris au maïs génétiquement modifié ont d'abord été comparés à leurs groupes témoins isogéniques ou parentaux équivalents non génétiquement modifiés. Cela a été suivi d'une comparaison avec six groupes de référence, qui avaient consommé diverses autres variétés de maïs non génétiquement modifiées. Nous avons appliqué des méthodes non paramétriques, notamment plusieurs comparaisons par paires avec une approche de taux de fausses découvertes. L'analyse en composantes principales a permis d'étudier la dispersion de différents facteurs (sexe, semaines d'alimentation, régime alimentaire, dose et groupe). Notre analyse révèle clairement pour les 3 OGM de nouveaux effets secondaires liés à la consommation de maïs OGM, qui étaient souvent dépendants du sexe et de la dose. Les effets étaient principalement associés aux reins et au foie, les organes de détoxification alimentaire, bien que différents entre les 3 OGM. D'autres effets ont également été observés au niveau du cœur, des glandes surrénales, de la rate et du système hématopoïétique. Nous concluons que ces données mettent en évidence des signes de toxicité hépatorénale, possiblement dus aux nouveaux pesticides spécifiques à chaque maïs OGM. En outre, des conséquences métaboliques involontaires, directes ou indirectes, de la modification génétique ne peuvent être exclues.

2007

New analysis of a rat feeding study with a genetically modified maize reveals signs of hepatorenal toxicity. Gilles-Eric Séralini, Dominique Cellier, Joël Spiroux de Vendômois (2007).  Arch. Environ. Contam. Toxicol. doi: 10.1007/s00244-006-0149-5.

« Une nouvelle analyse d’une étude d’alimentation de rats avec du maïs génétiquement modifié révèle des signes de toxicité hépatorénale ».

 

Au début du 21ème siècle, l’évaluation des risques sanitaires liés aux organismes génétiquement modifiés (OGM) cultivés pour l'alimentation humaine ou animale fait l'objet de débats dans le monde entier…

… et très peu de données ont été publiées sur les études toxicologiques à moyen ou long terme chez les mammifères. L'une de ces études, réalisée sous la responsabilité de la société Monsanto, avec un maïs transgénique MON863, a été soumise à des questions de la part des autorités réglementaires européennes, où elle a finalement été approuvée en 2005. Cela a nécessité une nouvelle évaluation des résultats pathologiques rénaux, et les résultats sont restés controversés. . Une action devant la Cour d'appel d'Allemagne (Münster) a autorisé l'accès du public en juin 2005 à toutes les données brutes de cette étude d'alimentation de rats de 90 jours. Nous avons réanalysé ces données de manière indépendante. Des statistiques appropriées ont été ajoutées, telles qu'une analyse multivariée des courbes de croissance et des comparaisons de paramètres biochimiques entre les rats traités aux OGM et les témoins nourris avec un régime normal équivalent, et séparément avec six régimes de référence de compositions différentes. Nous avons observé qu'après la consommation de MON863, les rats présentaient des variations de croissance légères mais significatives liées à la dose pour les deux sexes, entraînant une diminution de 3,3 % du poids pour les mâles et une augmentation de 3,7 % pour les femelles. Les mesures chimiques révèlent des signes de toxicité hépato-rénale, marqués également par des sensibilités différentielles chez les mâles et les femelles. Les triglycérides ont augmenté de 24 à 40 % chez les femmes (soit à la semaine 14, dose de 11 %, soit à la semaine 5, dose de 33 %, respectivement) ; Les excrétions urinaires de phosphore et de sodium ont diminué chez les mâles de 31 à 35 % (semaine 14, dose 33 %) pour les résultats les plus importants liés de manière significative au traitement par rapport aux sept régimes testés. Des expériences plus longues sont essentielles afin d’indiquer la nature réelle et l’étendue de la pathologie possible ; avec les données actuelles, on ne peut pas conclure que le maïs GM MON863 est un produit sûr.