Dans cette étude menée par Robin Mesnage, il a été comparé l’activité oestrogénique du bisphénol A à six bisphénols analogues sur trois lignées cellulaires du cancer du sein humain. En conclusion, les bisphénols alternatifs ne sont pas moins oestrogéniques, néanmoins la pertinence de l’exposition humaine à ces BPA dans le risque de cancer du sein hormono-dépendant devrait être étudiée…